2013年10月14日星期一

2013 Gucci Autres Sac à main cel

Et, chapitre 12, des victimes collatéralement sacrifiées : chevaux, chiens, colombidés, chevreuils, sangliers, hérissons A voir l'image, cela doit ?tre un millefeuilles napp? d'un coulis aux fruits nous avons dîné (fort tôt, vers 18h30) avant de nous rendre à Bercy Lors de la tuerie de Newton, en revanche, le profil Facebook du frère aîné avait d'abord été présenté comme celui du tueur, poussant le jeune homme à écrire: «CE N'EST PAS MOI Fais moi confiance, notre mort sera lumineuse !             Il saisi un poignard au manche d?argent finement ouvrag?, qui tra?nait sur la table de nuit et doucement, sans sembler en souffrir, ouvrit sur sa poitrine une longue estafilade de haut en bas Des photos qui tra?nent L'adolescent, qui a toujours relaté précisément les faits, aux gendarmes et aux magistrats instructeurs, mais sans pouvoir les expliquer, a refusé de participer aux reconstitutions des quatre homicides Ils ont pris cette affaire à la légère et n’ont pas fait leur travail Petit vegetable On déjà perdu Fabius ? #confPR twitpic L’image de Paris pour ce petit prince silencieux, très beau, qui déjà n’est que regard, nous la voyons nous-mêmes comme le Paris de René Clair : lorsqu’arrivent les premiers tramways et les omnibus, des bourgeois avec des cravates à système et des hauts-de-forme, avec des ombrelles et des chapeaux dont la paille est déjà d’Italie ; et la nuit, des boucliers en blouse blanche qui ressemblent à des fantômes, des crémiers et des poissonniers aux phrases fortes dont on pourrait presque recopier les dialogues, des maraîchers dont les appels aux chalands semblent chantés Près du feu, aussitôt, le sac est éventré ; en un moment, chacun des privilégiés reçoit son lot Deux jours après le plus grave attentat commis aux Etats-Unis depuis le 11-Septembre, les enquêteurs n'ont encore ni motif, ni revendication, et aucune hypothèse n'est privilégiée, entre terrorisme international ou intérieur No way René grandit au spectacle du ventre même de Paris qu’à magnifiquement évoqué ici, en l’accueillant, Jacques de Lacretelle François KORBER» action_writing aujourd?hui comment je fais pour ne pas mettre ma langue dans la bouche d?Ariane comment je fais pour ne pas ?tre ? l?orifice m?me doigt ? l?orifice m?me comment je fais pour la friction je nage ? la bouche aux cheveux au gazon servile d?sert ? caries faciles je remplis la bouche de mes amies d?une barri?re ? salives leurs cheveux carrosse de mon corps parmi ch?vres et cheveux de mes amies ici et l? et les montagnes vierges Ariane Marie qui est tapiss?e de d d?excr?ments sur la peau et visage mes yeux et les tiens les carrosses nacr?s de nos corps des diligences partout ?tre omnivache et ?p?e le petit sceptre tendu exquises gu?pes tout au long des arcades les salopes meurent ? nos lits garces d?fonc?es f?tides luxuriances en cuir les p les pigeons roucoulent se foutent de nous des campings caravanes harc?lent les bosquets peaux blanches cheveux descendus lourds poils sur les seins et ongles des camemberts d?volus ? nos bouches poubelles faciles des camemberts aux poubelles f?te gourmande aujourd?hui j?ai trouv? des fromages mourir jeune et solide mourir d?grossi bouffer les poubelles et des chiens se p?mer vide au cul aux prairies d?f?quer des sacs en plastique blancs la l?vre grise du vent chaud les duvets et les fi?vres coriaces la d?fonce saigner jeune et solide se d?grossir en montagne ablation de poubelles reins cuisses hanches le tout ? l?envers les poubelles la peau blanche camembert est d?Ariane fi?vre ? manger ce matin midi soir camembert la d?fonce de nos trous d?froque de sachets crach?s en plastique de cuirs fluides rossignol de la peau sur les os camembert de M Ariane S?verine S qu?est-ce que ce corps allong? le mien qui s?y pose qu?est-ce que la peau le blanc fromag? pourri leste la lourdeur colle des cheveux ? craquelures je dis que je nage et fais des cumulets partout Ariane s?est amusant endormie la fusion faite je dis que je nage et nage ? ces peaux je regarde d?froqu? t?te pouls aux filles mes amies urbaines folles la d?mangeaison glisse la d?mangeaison arrose de mutilations d?cel?es l?aptitude cochonne de mon corps et des sorties de sachets d plastique blanc ponctuent ma sauce avec inclus dedans des cailloux des coquilles les gu?pes se fr fr ? la nacre des carrosses c?est l?exquis relent de sperme carrosses-corps ? rouler ? des carrosses-corps les gu?pes toutes salopes je dis que je vois je me plie ? nager poison de gu?pe aux oreilles la d?b d?bandade est gicl?e comme sertie de bas des barques qui se fesses aux rivi?res de plus aigre blanc coulis de peaux foule de gras aux oreilles les coul?es de gu?pes salopes ? nos bouches langues dans nos bouches et ma main aux cheveux lourds d?Ariane nage carie p?se sous-p?se le poison gu?pe le dard crisp? de sel et l?eau forte l?oeil d?fonc? le jaune cruel malaxe sert ma colle-forte noire aux ?paules les dents flottent tombent presque par terre quand nous poussons nos langues l?une ? l?autre dents et langues carpettes ? dos de mur?nes cavaler cavaler serpilli?re le matin nous alors l? endormis cro?tes ? gorges enfonc?es d?bloque elles d?bloquent d?bloque-toi des phras?s de corps et ? peaux bananes couches atmosph?res s?ches des poils noirs sont durcis atmosph?riques doubl?s de seins plaqu?s blancs plaqu?es particules noires dessus balafr? le gras d?hu?tres de langues et orties s?ves collent ? tes peaux ?paules la grasse embard?e de phoques mentons joues aux ?paules mentons se frottent l? m?l?s emm?l?s les or ar les odeurs et ardeurs de salives salivent bouche langue le menton et la gorge touche tombe la valeur soufr?e de ce qui recouvre le plomb du sein les bestioles nues des litres et des litres d?yeux couleurs ? d?terminations pliss?es secondaires la casse blanch?tre de la suie des touches de suie au sein mises et au sein des affres lourdeurs coffr?es aux ?paules le traquenard de tristesses blessures ? se mettre l? tu touches et je tombe je touche et ?a tombe tout tombe les abstraits p?leurs cadenass?es gigantesques balafres finalement si je tape ici torse regarde-moi et elle regarde tape-moi dessus si je mords je regarde elle et petites particules cuisses de suie tout le long et tout entre les tissus fra?ches ses peaux l? feux sous les pluies eaux seins seins plus plastique les masses de cuir fluide et morceaux de suie traquenard coffre brut et ?pais coupe Boston Gucci Britt Nouveau Moyen-169971 Biege deux seins deux coffres bruts et ?pais de peaux gifflures s?ches regarde-moi elle le fait paume au menton et mes mains au menton regarde-moi la caillasse nage ? ses joues et l?oeil est cuisse solide et sale arqu?e nous sommes prendre 2013 Gucci Autres Sac à main coups et des coups des mamelles ? tout ventre avec les souffles qui leurs crachent des bavures tard matin?e faite plis de rat pisse ch?vre cheveux rats des gu?pes ? l??vier la plante du pied fume aux foug?res fume ils se font arracher du cr?ne ses cheveux se font dense lumi?re tousse ? arcades foug?re grise en cuisine et la suie est coll?e ? la peau la suie blanche roucoule le dimanche ? la peau parquer nos corps face plaquer face ? leurs face plaquer et tords-les jusque tard tords-les de mani?re crache crach?e coups de sangle ? la bouche d?licate de nos cavales nous tirer nos peaux et leurs os les plis et joufflures aux embrasures l?vres de nos hanches cavaler l?un ? l?autre vers l?autre cul vers l?autre par terre ocre d?licatesse prendre les ?paules paumes ? la main se couler flots de carpes tout le long d?enfilades s?ches elles chiffr?es compter ferme compter   loutres ? glisser fluide tout le long des chiffres ? s?arrachent mes dents allez compte des coups de ventre et hanches coups du menton de la paume et aisselles l? tout ce qui se fluidifie sous le nombre lignes nues et leur nombre et la raie avale triste s?che avale cavaler cavalons cavaler paumes aux ?paules coups dans la bouche et aux commissures de nos l?vres les carpes mur?nes d?goulinent tu tapes aux flancs pour que nagent d?fonc?es les d?froques mes d?froques aux ?tangs et aux lacs merci mais regarde la suie s?ches saccades de nos dos je rampe ventre et orange au gravier embrouille mes pinceaux les sandales s?activent ? toi coup de sangle coup de sangle coup vif ? la bouche aux orteils les hormones   sifflent ? reflux fermes et sertis de suies braises les octobre par ici cort?ge des plantes de tes pieds sur mon dos la roue du carrosse-corps ?crase les plissures de mes doigts cibler l?avaler cr?pe ma douleur et je marche moi ?tal cave ?tendu tout chez toi qui me fait qui me fait Ariane elle ? genoux et genoux sur mes coudes riposte pas crache pas je ne crache pas ne l?ve pas ma t?te regarde-moi je regarde ni regarde elle l?ve des pr?mices de tape et gifle torse les c?tes les oreilles du coup sifflent la belle tempe suit son cours et affects partout r?dent partout connasses salopes des gu?pes pas cher épingle à cheveux gé partout l??toupe farce s?che des sabots de m Ariane les vertes de peau sont ici avec moi l?oeil jaune l?oeil vert torch? de cassis torches boursoufl?es les ?touffent la d?fonce est ici des m?choires je r?p?te l?embrasure de gu?pes t?arrache finalement coudre assez large la finesse galb?e des siennes larges larges crues gorges ? l?arrache cousues les cordes coudre d?coudre recoudre des cordes ? s?ve finalement quelle s?enfoncer s?enfoncer en gorge les r a r?pent les bless s coutures r?pent aux gorges nues s cou p t ures r r?pent d?gonfler le pouls de ma main cruches de mon sang la discorde s pri propre ? l mon sang reste au coq ?pique sec gras l?aile d?mange se bouffe l?aile il se bouffe se bouffe bouffe l?aile cr?te dure courb?e molle la mollesse et duret? mec je dis arrache ? la cosmique souille courbure arcade rouge de ma g o r g e de ma gorge qui hq happe sort d?elle par-del? d?g?ts d?eau des mercis claquent au palais la ger?ure froide fait partie du concept les milieux d??le fermentent des glaires le vert et le bleu le vert bleu canailles canailles aux rochers les bombes des persans se faire exploser la cervelle est d?mangeaison en soi d?vergondage de sadiques la pulpe au trou d?f?quer la malade g?t mais triomphe du tac au tac blesser des poitrines au couteau paupi?res nues si nues clauses vastes filles au trou des carcasses de p?leurs essuie-mains essuie-culs d?fr d?f q l? oblig?e ? hurler la d?fr q l?vre mordue petits sons d bouche seins cadenass?s par terre offrir dents et d?falquer l?vres sinon sinon rien sinon que cuite les esprits se mettent au sel ferme suie palper l?ouverture chair entre coup?e sort distordue des bouches abreuvoir de solutions pour qui prend coups de pointes aux c?tes efforts abrasifs canicule malade le plateau de ma gorge est ce qu?il est des palabres de lames et des cuirasses aux sacs verts bleus les rougeurs rougeurs plissent ou partent supportent peu ou pas ou beaucoup j?aime j?aime glisse la mis?re noire partout sur mes yeux et cerveau tout ensemble cueillir et marteau frappe taper sur les doigts c?est le d?vergondage de la planche ? outils et concerne les vices chics avaler d?falquer retenir cracher des armures de carnassiers gigantesques j?aime j?aime la glisse des combats mortels avec coqs et serpentins partout tout tuer des peuples qui nous peuplent d?g?n?rescence totale calibrer l?oeil pour qu?il s?che en gorge rouge rougie braise aplatie par deux les caniches vont par deux et les poules les poulets les forces de l?ordre la banlieue canicule les graviers en gorge je vais par deux et j?avance par deux d?ailleurs regard touche premier regard avanc?e militaire d?cid?e c?est d?cid? l?avanc?e ne tracasse pas les sens ? plat ventre ? dos de menstrues d??nesse ou mur?ne cavaler souple tout le long des cuirs noirs et des boursouflures roses gu?pes avancer avanc?e torse au ceinture gucci pas cher sol bouche au sol simplicit? ductile aux parties les ?preuves s?emm?lent mais bouchent la peau de la langue r?pe ACTION_WRITING 1 “Mais cette menace n'a pas totalement disparu et notre colère contre l'injustice est toujours intacte Bois moi encore Les paysages ne me plaisaient pas, la météo non plus, moi qui aime tant le soleil et les horizons vallonnés Une zone de non-droit où n’entre pas qui veut, surtout pas la policewrite(' '); gilbert434 morts L'oncle conduira l'adolescent à la mairie où il racontera aux gendarmes avoir tué sa famille Les réfugiés ont néanmoins étalé quelques banderoles Les coupes et les motifs sont délicieusement rétro ; un retro comme on ne l’aime pas et qui ne revient jamais à la mode, avec des gilets aux cols en V trop larges, des petits flocons ou des losanges grossièrement dessinés dans des camaïeux de marron, de gris, de vert foncé, de kaki se font ds la pubert

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